Bio

Parquet (tout court), « soit cinq musiciens de la scène expérimentale emmenés par Seb Brun qui allient la culture des clubs berlinois à l’univers des jeux vidéos addictifs des années 80-90 ». Nous, on y entend plutôt une sorte de The Skull Defekts techno, et c’est pour ça qu’on trouve ça chouette. (Noise Mag)
Véritable paradoxe visuel et sonore, ce groupe de rock invisible répond aux canons de la techno et des cultures électroniques, tout en s’extirpant de toutes conventions et étiquettes. Reste l’essentiel, le son, le rythme, la répétition, aux racines de la transe, au-delà des mots et contre toute raison. On a pu les voir en ouverture de Ben Frost au Trianon, ils sont également lauréats 2018 des Inouïs du Printemps de Bourges.